Selon une étude menée par la Caisse des dépôts, et rendue publique le 18 juin, les abondements des CPF de leurs salariés opérés volontairement par les entreprises sont très minoritaires. Lorsqu’ils existent, ils financent plus d’une fois sur deux (57 %) des formations inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles.
