“J’ai eu de la chance.” Ce n’est pas forcément ce que vous vous attendez le plus à entendre lors d’un entretien avec une jeune femme de 34 ans victime d’un AVC à 21 ans. Mais c’est bien cette chance – d’avoir si bien récupéré, d’avoir été si bien entourée, si bien accompagnée –, que Mathilde Cabanis chérit à l’évocation de son parcours.
